ARTHUR STEINER, Bachelor Cinéma d'Animation 3D

Nice

Peux-tu te présenter en quelques lignes ?

Je m'appelle Arthur Steiner. 

Pourquoi as-tu eu envie de te mettre à la 3D ? 

Depuis tout petit, je suis passionné par le cinéma, surtout les films d'action, de science-fiction et fantastiques. C'est ce que j'appelle le cinéma du rêve, car il permet aux spectateurs de sortir de leur quotidien pour explorer d'autres mondes, voir d'autres créatures et vivre des situations inédites. J'ai compris que je pouvais faire du cinéma mon métier. Je me suis alors dit que je ne voulais pas faire de simples films « histoire », mais que je voulais aussi, à mon échelle, faire rêver les spectateurs. C'est pourquoi je me suis mis à la 3D : pour pouvoir filmer ce qui ne peut pas l'être. 

Peux-tu nous parler d'un projet qui t'as marqué en 3D ? 

Le projet qui m'a le plus marqué est mon court-métrage de fin de première année. Après avoir écrit le scénario, la seule chose qui pouvait me confirmer que c'était réalisable, c'était les effets spéciaux. Je me suis donc entraîné. Quand j'ai vu que le résultat final était assez réaliste, je me suis dit que je pouvais faire mon court-métrage. Depuis, j'inclus toujours des effets spéciaux dans mes projets. 

Est-ce que tu penses que c'est une compétence favorable pour ton avenir professionnel ? 

Je pense que c'est un atout, car je souhaite me spécialiser dans la post-production, et la 3D ainsi que les VFX font partie intégrante de ce processus. Cela me permet d'avoir un plus large éventail de compétences pour offrir mes services. 

Selon toi, est-ce que cela pourrait t'ouvrir des portes ? 

Je pense que cela pourrait m'ouvrir des portes, que ce soit en France ou à l'international. Il y a un marché à conquérir pour les petites productions et les réalisateurs indépendants qui n'ont pas toujours les moyens de s'offrir les services de gros studios.