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L’histoire du Concept Art depuis la nuit des temps (à peu de choses près)

On pourrait croire que le Concept Art est né avec Photoshop et des tablettes à 1 000 €, mais détrompez vous : il est presque aussi vieux que le feu (si, si). À Studio Mercier Nice, l’ecole Concept Art par excellence, on vous apprend à manier pinceaux numériques et idées farfelues avec la même rigueur que Léonard de Vinci dessinant une machine à café (ou un hélicoptère). 

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1. La préhistoire : « Et si on peignait un mammouth là ? » 

Les premières formes de Concept Art remontent à la grotte de Lascaux. Nos ancêtres, sans tablette graphique ni gomme Ctrl+Z, dessinaient des scènes de chasse sur les murs, histoire de briefer l’équipe avant la grande sortie du week-end. On ne peut pas confirmer qu’ils travaillaient en équipe agile, mais on sent déjà le storyboard pointer le museau. 

Comme dans une ecole Concept Art, on posait les bases avant la création… sauf que le professeur, c’était la survie. 

2. Antiquité & Moyen Âge : l’art de pitcher son idée à un pharaon 

À l’époque, si tu voulais construire une pyramide ou peindre la chapelle Sixtine, fallait savoir vendre ton concept. Les fresques, les mosaïques, les enluminures ? Des moodboards à l’ancienne, avec de la dorure en bonus. Dans une bonne ecole Concept Art actuelle, on utilise Photoshop ; à l’époque, c’était pinceau + pigments naturels (et zéro bouton Annuler). 

3. Renaissance : quand Léonard faisait du freelance 

Léonard de Vinci : artiste, ingénieur, inventeur et probablement le premier à facturer un rough. Ses carnets ? Des portfolios avant l’heure. Il bossait sur des idées de machines volantes, d’armures et de visages mystérieux. On jurerait presque qu’il avait suivi un stage dans une ecole Concept Art, mais sans ordinateur et avec beaucoup plus de plume et d’encre. 

4. XIXe - XXe siècles : Hollywood entre en scène 

Avec l’arrivée du cinéma, le Concept Art devient un vrai métier (même si à l’époque, on appelait encore ça « faire des dessins pour le film »). Les premiers storyboards apparaissent, et les artistes se retrouvent à bosser dans des studios où il fallait dessiner vite, bien, et sans renverser son café sur les pellicules. Exactement comme dans une ecole Concept Art, sauf qu’ici, le réalisateur crie « Action ! » au lieu de « Pause déjeuner ! ». 

5. Époque moderne : le Concept Artist devient une rockstar (du moins sur ArtStation) 

Dans l’industrie du jeu vidéo, du cinéma et de l’animation, les Concept Artists sont devenus les architectes des mondes imaginaires. Tout commence avec leurs croquis. Ils sont les premiers à donner vie à un personnage, un environnement, une ambiance. C’est ce qu’on apprend dès la première année dans une ecole Concept Art digne de ce nom : partir d’un gribouillis et finir avec un univers qui bluffe tout le monde. 

6. Studio Mercier Nice : là où on apprend à créer des dragons crédibles (et bien d’autres choses) 

Située à Nice (oui, il fait beau même en hiver), Studio Mercier est une ecole Concept Art qui forme les créatifs de demain avec autant de passion que d’exigence. Ici, on vous apprend : 

  • À dessiner des mondes entiers, du café de l’espace à la jungle cyberpunk ;
  • À maîtriser les outils pros, de Photoshop à Blender, en passant par le plus redouté : le rendu final ;
  • À pitcher vos idées sans trembler devant un jury (ou un client grincheux). 

Les formations : 

  • Bachelor Concept Art (Bac+3) pour apprendre les bases solides + vos premières créatures originales.
  • Mastère Concept Art (Bac+5) pour devenir un.e maître.sse du design visuel, façon Yoda, mais avec une Wacom. 

Pourquoi Studio Mercier ? 

  • Une équipe de formateurs pros, qui ont bossé avec des noms comme Ubisoft, Netflix ou encore "ce studio super secret qu’on n’a pas le droit de citer".
  • Un taux d’insertion de 85 %, ce qui prouve qu’on ne vous apprend pas à dessiner dans le vide.
  • Des projets concrets, des stages, et surtout, une ambiance de studio (sans les open spaces sans fenêtres). 

Le Concept Art n’est pas juste une mode née dans les années 2000 : c’est l’héritage d’une humanité qui a toujours voulu dessiner ce qu’elle imaginait. Et si aujourd’hui, on ne peint plus sur les murs de grottes (merci les tablettes), l’esprit est le même. Chez Studio Mercier Nice, l’ecole Concept Art où l’on forme les créatifs les plus inspirés (et les mieux armés face aux retours clients), l’histoire continue. Et qui sait, peut-être que dans 1 000 ans, vos créations numériques orneront les murs d’une grotte... spatiale.

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