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Vidéo virale d’Intermarché : Studio Mercier Béziers sur le projet

En quelques jours, une campagne a réussi ce que beaucoup cherchent pendant des mois : créer de l’émotion, déclencher des partages et s’installer dans les conversations bien au-delà de son cadre publicitaire. Le film de Noël d’Intermarché, construit comme un conte, met en scène un loup craint de tous… qui décide de changer de rôle. Et c’est précisément là que l’histoire bascule.

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Un récit simple, mais redoutablement efficace

 

Le principe est limpide : un loup, isolé parce qu’il incarne la peur, choisit de ne plus être celui que l’on fuit. Au lieu de chasser, il apprend à cuisiner, s’intéresse aux légumes, compose un plat et tente sa chance auprès des autres animaux, dans une ambiance de fête. Le message est universel : on n’efface pas un regard en un claquement de doigts, mais on peut construire de la confiance par les actes, la patience… et une vraie intention.

Cette narration “à hauteur d’émotion” s’appuie sur des choix de mise en scène très maîtrisés : rythme progressif, contraste entre solitude et chaleur collective, et une esthétique d’animation qui renforce le côté fable. Résultat : on ne retient pas un slogan, on retient une histoire.

Pourquoi ça fonctionne : le film coche trois leviers puissants de viralité : une intrigue immédiatement lisible, un protagoniste attachant malgré lui, et une conclusion qui donne envie de partager “pour faire ressentir” plutôt que “pour informer”.

 

Coulisses : une étudiante de Studio Mercier dans l’aventure

Cette actualité a aussi une résonance toute particulière pour nous : Abigaïl Rosa, étudiante à Studio Mercier (campus de Béziers), a participé à la production du projet. Son implication illustre concrètement ce que nous défendons au quotidien : apprendre en faisant, se confronter à des standards élevés, travailler en équipe et contribuer à des contenus capables de toucher un très large public.

Au-delà de la fierté, c’est un signal fort pour les futurs créatifs : les compétences acquises en formation (pipeline, rigueur, coordination, exécution) trouvent leur place sur des productions visibles, exigeantes, et fortement commentées. Quand un film devient viral, ce n’est jamais “juste de la chance” : c’est le cumul de décisions créatives justes, d’un niveau de finition constant, et d’une discipline de production.

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Le post Instagram à intégrer

Retrouve notre étudiante sur Instagram pour voir ce qu'elle a produit dans le cadre de l'animation du Mal aimé :

 

Un phénomène de partage, en France et à l’international

 

Diffusée début décembre 2025, la campagne a rapidement circulé sur les réseaux sociaux, portée par les réactions du public, les reposts et les commentaires qui se reconnaissent dans le thème de l’exclusion et de la réhabilitation. Plusieurs médias ont relevé l’ampleur de cette traction et la manière dont le film dépasse le cadre d’une publicité classique pour devenir un “moment” culturel de fin d’année.

 

Ce que les marques (et les créatifs) peuvent en retenir

 

Première leçon : l’émotion n’est pas un “effet”, c’est une stratégie. Quand le récit est clair et sincère, l’audience fait le reste. 

Deuxième leçon : la simplicité narrative peut être plus mémorable que la surenchère.

Troisième leçon : les formats courts (réseaux sociaux) amplifient les histoires longues, à condition d’avoir une scène pivot qui se partage très bien.